Si l’entreprise a besoin de financement pour investir, un tel besoin se fait également ressentir lorsqu’elle rencontre des difficultés financières.
Or, à ce stade, l’octroi de nouveaux concours est souvent compromis, le banquier ayant alors perdu toute confiance face à l’entreprise qui se déclare elle-même en difficulté.
Le droit français offre cependant des procédures amiables qui peuvent être un vecteur de financement de l’entreprise en difficulté, à condition néanmoins d’y recourir à temps.
Voir l’article d’Aude Manterola et Sophie Sabran (Directeur des Affaires Spéciales, Caisse d’Épargne et de prévoyance de Rhône Alpes) publié dans la Revue Lamy de droit des affaires n° 177 de janvier 2022, pages 29-32